Importances du rempotage

Le rempotage apporte à vos plantes d’intérieurs deux principaux avantages. Dans un premier temps, cela leur permet de mieux se développer. En effet, le travail consiste à enlever délicatement la plante dans son pot initial et de le remettre ensuite dans un plus grand pot. De cette manière, les racines pourront disposer de la place dont elles ont besoin et la plante s’épanouira comme il se doit.

En second lieu, le reportage est une occasion qui vous permet de renouveler la matière organique nécessaire au bon développement de vos plantes. Lorsque vous changez de pot, il va de soi que vous procédiez également au changement de terreau.

Les étapes du rempotage

D’une manière générale, le rempotage se réalise en quelques étapes assez simples. D’abord, vous devez choisir votre pot. Le diamètre de celui-ci doit être supérieur à l’ancien contenant.

Garnissez ensuite le fond d’une couche drainant. Vous pouvez utiliser de billes d’argile expansée ou de gravier. Puis, choisissez le terreau adapté au bon développement de la plante que vous rempotez.

Ceci fait, passez à la préparation de votre motte. À l’aide d’un sécateur, supprimez les racines endommagées, fragiles et mortes. Vous pouvez maintenant placer votre motte dans son nouveau contenant et de le remplir de terreau. Il ne reste plus qu’à tasser légèrement et à arroser votre plante selon ses besoins pendant les prochains jours.

Bons à savoir

Il est porté à votre connaissance que le rempotage est également recommandé pour les plantes que vous venez d’acheter. Dans la plupart des cas, les pots dans lesquels elles sont vendues ne sont plus adaptés pour leur développement. Sinon, le début du printemps est la meilleure période pour le rempotage de vos plantes d’intérieur. ?

Les deux principaux avantages de l’isolation extérieure

La première raison d’adopter l’isolation thermique extérieure se rapporte bien évidemment aux dépenses. En effet, grâce à cette technique, votre maison sera totalement recouverte, comme on l’a dit précédemment, d’un manteau d’isolant qui protègera votre nid douillet du froid. Aussi le pont thermique sera supprimé, ou du moins réduit de façon considérable. Par ailleurs, l’isolation extérieure engagera une réduction des déperditions d’énergie et une diminution des flux d’air dans votre maison. En d’autres termes, privilégier l’isolement des façades vous permettra de réduire vos factures en chauffage, car la chaleur sera emprisonnée entre les murs.
Le deuxième avantage de ce procédé se focalisera sur le design de votre maison. Effectivement, l’isolation par l’extérieur de votre maison aidera à redonner un coup de jeune à votre façade. En effet, non seulement allez-vous bénéficier d’un confort thermique grâce à la chaleur maintenue dans la maison, mais vous allez également être amenés à embellir l’aspect extérieur de votre immobilier. Ensuite, s’attaquer à l’intérieur peut s’avérer être plus onéreux. Si l’isolation intérieure réduit le nombre de mètres carrés de surface habitable de 5%, l’isolation extérieure vous assurera leur entière conservation. De plus, il ne vous sera pas nécessaire de refaire toute la décoration de votre intérieur, que ce soit le carrelage, la peinture, la tapisserie ou le sol. Mais le plus important est que les réseaux électriques, la plomberie et les systèmes d’évacuation seront maintenus intacts.

Quelle finition adoptée ?

En terme général, il existe deux principales options d’isolation extérieure : les murs avec bardage et les murs enduits. Les professionnels vous orienteront selon la configuration de votre maison, votre budget ainsi que le résultat escompté.
Dans le cas où votre bâtiment est doté de murs abîmés, irréguliers ou encore humides, l’installation d’un bardage est la technique qui vous sera conseillée. Elle consiste à fixer une ossature métallique sur les façades du logement sur laquelle des panneaux d’isolants seront vissés pour enfin être recouverts d’un bardage, notamment en bois, en ardoise, en ciment ou encore en PVC. Elle est connue pour apporter la meilleure résistance thermique. De plus en plus répandus et utilisés, les murs avec bardages nécessitent un budget plus élevé, mais offrent une meilleure esthétique à votre maison. Il faut également noter qu’une autorisation de votre commune est requise avant de vous avancer dans les travaux.
La finition à l’enduit est, quant à elle, la plus utilisée. Etant plus économique, plus simple à mettre en place et ne nécessitant pas la fixation d’une ossature, cette technique est adoptée par la majorité des communes et présente un coût moins élevé, ce qui présente sûrement l’un de ses plus gros avantages. Cette technique requiert la pose d’une couche d’isolant sur les murs extérieurs de la maison qu’on recouvrira ensuite d’un enduit de finition : un enduit hydraulique ou un enduit organique. Ceci dit, bien que plus adoptée, cette technique ne s’adaptera qu’à des façades en bon état.
Bien qu’ayant toutes les cartes en mains, il vous sera avantageux de faire appel à des professionnels en bâtiment pour vous guider dans vos choix.

Même sans un architecte, il est permis de concevoir soi-même les pans de sa future maison. Il faut tout de même respecter quelques conditions : la maison à bâtir doit être une maison de plain-pied, sa superficie ne doit excéder les 170m². Cela vous épargnera des frais de l’architecte. Toutefois, soumettez-les à un architecte-conseiller à titre de vérification, gratuitement.

Une maison à votre image

Le premier avantage qu’on tire quand on conçoit soi-même ses plans, c’est qu’on laisse libre-cours à sa créativité. La maison ainsi conçue se conforme alors aux besoins spécifiques du propriétaire. Si par exemple, ce dernier aime cuisiner devant ses invités, une grande salle de séjour avec cuisine ouverte est à envisager. En outre, s’il y a dans la famille un musicien bruyant, on peut lui créer un espace spécial à l’autre bout de la maison, à l’opposé de la chambre de bébé. Toutefois, il faut veiller à rester dans la simplicité, sinon vous allez vous-même vous y perdre. Par ailleurs, votre maison aura plus de chance d’être réalisée conformément aux plans quand ceux-ci sont simples.

Les plans à représenter

Cinq types de plans sont requis pour obtenir le permis de construire de la maison. Le premier est le plan de positionnement de la maison par rapport à la parcelle de terrain. Il doit montrer les accès aux viabilités (puisard, eau, électricité). Le deuxième plan est celui des fondations. Celui-ci montre les murs porteurs de la maison. Par la suite, on a le plan sol. Y figure l’emplacement et l’épaisseur des murs, portes et cloisons. Il doit également mentionner l’usage de chaque pièce. Le quatrième plan est la coupe. Par une vue de profil, il montre les toits, les ouvertures transversales et les décrochements de niveau s’il y en a. Et enfin, on a le plan des façades. Celui-ci montre la maison vue de l’extérieur. A noter que tous ces plans doivent être cotés et orientés, sans oublier d’y faire figurer les échelles.

À l’heure actuelle, nous prônons les gestes éco-responsables au cœur de notre quotidien. Et pourquoi pas non plus dans le jardin ? Voici quatre habitudes à adopter pour avoir faire du jardinage écolo et en tirer les bienfaits.

1. La semence au bon moment

Afin de faire jouir à vos végétaux les meilleures conditions météorologiques, sans avoir à gâcher vos semences, il est important de planter les grains au bon moment en suivant le calendrier du jardinage. En suivant cette règle, vous constaterez que vos plantes sont plus résistantes et nécessitent moins d’entretiens ! Attention, chaque plante a sa période de floraison. Par exemple, la plantation des géraniums doivent se faire idéalement entre fin mars et mi-mai.

2. Planter la graine au bon endroit

Comme il y a des végétaux qui ne font pas bon ménage, mieux vaut ne pas semer la pagaille. Sinon, gare aux maladies et aux ravageurs. Il faut à cet effet faire attention au type de sol où vous planter certaines espèces végétales, car elles peuvent ne pas s’y plaire. Pour cela, il est important pour vous d’observer comment la flore sauvage se développent dans la nature et dans quels endroits certaines races se développent mieux.

3. La rotation des cultures

Cette pratique est réputée écologique puisqu’elle permet de bien gérer les réserves nutritives du sol, mais aussi de préserver les plantes contre les maladies. Aussi, il est préférable de pratiquer cette technique surtout pour le potager. Vous devrez observer une rotation des parcelles des légumes feuilles, des légumes fruits et des légumes racines sur une période de 4 ans.

4. Prôner pour la diversité végétale

Par ailleurs, en multipliant l’espèce végétale dans votre jardin, vous contribuerez à l’équilibre d’un petit écosystème où la variété des plantes permet non seulement d’enrichir votre espace vert, mais aussi d’équilibrer le milieu naturel, c’est-à-dire d’ajuster la proportion d’insectes, de réduire les parasites et d’attirer les oiseaux.

Pourquoi tailler vos arbustes ?

Imaginez le bien-être que vous ressentez lorsque vous sortez d’un salon de coiffure. Ne vous sentez-vous pas plus léger, plus rafraîchi ? Vous êtes également plus beau ! Il en va de même pour vos arbustes. En les taillant, vous leur procurez un nouveau souffle et leur donnez de l’allure. Eh oui, la taille fait du bien à vos arbustes. Elle permet de leur donner une nouvelle jeunesse. Après la taille, de nouvelles branches vont apparaître. La taille permet ainsi la ramification de vos arbustes. Ils auront par ailleurs une floraison plus abondante.

Comment les tailler ?

En général, on effectue la taille des arbustes au cours de l’hiver. Ceci, afin de les préparer au printemps qui va venir. En revanche, pour les arbustes à floraison printanière, la taille s’effectue plutôt au début de l’été. Si vous constatez que vos arbustes se développent beaucoup et qu’ils deviennent moins élégants, effectuez une taille légère afin de lui redonner une forme soignée. Pour tailler vos arbres, enlevez les branches mortes et malades. Pour vous faciliter la tâche, équipez-vous de bons outils. Une scie sabre est un outil de jardinage très pratique. Elle est simple d’utilisation et légère. Vous pouvez utiliser une scie sabre filaire (à choisir si vous avez un grand jardin et disposez de beaucoup d’arbustes). Vous pouvez aussi opter pour un modèle sans fil. C’est plus pratique et peut être utilisé partout, même loin d’une source électrique. Des sites comme https://scieagogo.info/ vous livrent des conseils afin de vous aider à choisir le matériel qu’il vous faut selon vos besoins. Coupez toutes les branches qui gâchent l’esthétique de vos arbustes. Enlevez également les fleurs fanées. Finissez ensuite par une taille de remise en forme.

Quelles mesures pour protéger la partie haute de la gouttière ?

La partie haute de la gouttière est déjà agressée par les intempéries notamment la pluie et le vent. Mais la gouttière ne peut surtout pas supporter de charges. Pour cela, évitez d’appuyer une échelle ou un échafaudage sur votre gouttière lors de vos travaux de rénovation. Utilisez toujours une échelle avec un écarteur de façade et placez votre échafaudage sur un appui mécanique. Pensez également à entretenir le plus souvent votre gouttière avec de la peinture et des produits spécifiques.

La meilleure façon de protéger vos gouttières est d’utiliser la protège gouttière. Heribro, le spécialiste des protège-gouttières propose un produit novateur : le hérisson brosse. Placé à l’intérieur des gouttières, il permet d’éviter leur engorgement.

Quels équipements pour protéger la partie basse de la gouttière ?

La descente de la gouttière est souvent soumise à des chocs, surtout dans le cas des parkings et des trottoirs où le passage est fréquent. Quelques solutions s’offrent à vous pour protéger votre gouttière dans ce cas. Il y a tout d’abord la protège gouttière appelée dauphin. C’est un tuyau terminal de plusieurs mètres de longueur à insérer à la descente de la gouttière par l’intermédiaire d’un collier. Souvent en acier, en fonte ou en aluminium, le dauphin est très épais et très résistant. Ensuite, il y a l’arceau de protection de gouttière, un tube en métal à sceller sur une platine dans le trottoir ou la chaussée. Il sert de barrière autour de la descente. Cette barrière est comme une sorte de butée empêchant les gens de marcher sur la gouttière. Enfin, il y a le protège-conduit, de forme demi-cylindrique à placer sur le tuyau de descente. Souvent de matériau synthétique ou élastique, il résiste aussi bien aux chocs qu’aux produits chimiques ainsi qu’aux variations de température. Il sert à protéger la gouttière par l’extérieur.

Les avantages de la vigne vierge dans votre jardin

La vigne vierge est une plante grimpante qui peut atteindre 10 à 20 m de hauteur. Elle est idéale pour habiller un mur extérieur. Elle représente également une solution intéressante pour occulter un treillis ou créer l’intimité d’une pergola.
L’entretien de la vigne vierge est très facile. Elle pousse sur un sol ordinaire avec une exposition ensoleillée et mi-ombrée. La plante se taille tout au long de l’année, car elle pousse vite et peut rapidement devenir envahissante.
Comme la vigne vierge est caduque, l’aspect décoratif est sans pareil. C’est la plante idéale pour avoir de la couleur toute l’année dans son jardin. D’ailleurs, en automne, les feuilles se teintent en jaune, rouge ou encore orange.

Quelques conseils pour la plantation de la vigne vierge

La vigne vierge se plante au printemps ou à l’automne. Il faut l’arroser régulièrement durant la 1ère année. Les premières tiges devront être palissées le long du mur pour l’aider à accrocher.
Il est important de veiller à ce que la plante bénéficie de l’eau de pluie. Le trou de plantation devra donc se situer à 10 cm ou 20 cm du mur. Le trou devra faire environ 50 cm de profondeur et de largeur. Si le sol est lourd, il faut placer des cailloux, du gravier ou des tessons de poterie dans le fond avant de planter la vigne.
A partir de la 2ème année, la vigne ne nécessite plus beaucoup d’entretien. Vous pouvez enfin la laisser grimper à sa guise. La principale précaution à prendre est de tailler régulièrement la plante afin de l’empêcher de couvrir les fenêtres et la toiture. Le fumier décomposé est idéal pour enrichir le sol en cours d’année et pour avoir de belles feuilles bien saines et résistantes.

Une débroussailleuse pratique et facile à manier

Une débroussailleuse thermique, comme son nom l’indique, fonctionne à l’énergie thermique. C’est-à-dire qu’elle nécessite du carburant. Ce qui n’est pas le cas de la débroussailleuse électrique. Seulement, cette débroussailleuse s’avère plus pratique que celle qui marche grâce à l’énergie électrique. Plus puissante, la débroussailleuse thermique arrive à dompter n’importe quel terrain. De plus, si vous avez un terrain assez vaste, la débroussailleuse thermique est beaucoup plus pratique, car elle ne nécessite pas un système d’alimentation tel qu’une prise et peut être utilisée sur toute la surface du terrain. La majorité de ces débroussailleuses sont faciles à manier. Il existe des modèles lourds, mais aussi des légers. Tout dépend de la préférence de la personne, de la surface du terrain, de la puissance recherchée et du prix. Pour vous aider à choisir, utilisez ce comparatif de débroussailleuses thermiques.

Une motorisation thermique répondant aux attentes

La débroussailleuse thermique fonctionne avec un moteur appelé moteur à explosion à cycle. Vous avez l’embarras du choix entre une motorisation à deux temps ou à quatre temps. Le moteur à deux temps est plus léger tandis que celui à quatre temps est moins polluant. Le moteur deux temps fonctionne avec un mélange d’huile et d’essence. En général, leur démarrage est fait manuellement. La capacité de leur réservoir est également assez importante ce qui s’avère être très pratique pour les grands espaces et les terrains difficiles. Ce type de débroussailleuse permet de travailler les recoins les plus difficiles d’accès d’un terrain.

Les robots de piscine électriques

Sur le marché, les robots de piscine électriques sont réputés pour être très fiables et efficaces. Ils sont considérés comme des vrais bijoux de technologie. Certains modèles de robot de piscine électrique sont en mesure de nettoyer toutes les parties de votre piscine, et même la ligne d’eau de celle-ci. En quelques heures seulement, ils peuvent effectuer un nettoyage total de votre bassin. De plus, vous n’avez pas besoin de brancher de tuyauterie. Vous n’avez donc qu’à brancher le câble d’alimentation du robot à une prise électrique classique et placer le robot dans l’eau. Celui-ci s’occupera du nettoyage sans votre aide.

Choisir un robot électrique

Sur le marché des robots, vous pouvez trouver des robots de marque Dolphin Swash. Celui-ci par exemple permet de nettoyer le fond de la piscine ainsi que les parties inférieures des parois. Son petit plus est sans doute son système de scannage. Vous pouvez aussi trouver des robots Kleen machine. Ils peuvent nettoyer le fond et les parois de la piscine. Ses points forts sont sa puissance d’aspiration et sa capacité de stockage des saletés. Bien évidemment, ces 2 marques ne sont pas les seules sur le marché. Pour en avoir un petit aperçu, vous trouverez plus d’informations ici.
Attention, pour bien choisir votre robot de piscine, prenez en compte les caractéristiques de la machine. Intéressez–vous à son cycle de nettoyage, ses dimensions et sa compatibilité avec le revêtement de votre piscine. Soyez aussi attentif à la capacité de stockage de saleté de la machine et son cycle de nettoyage. Vérifiez aussi s’il peut être télécommandé ou non, ainsi que sa garantie. Enfin, le choix du robot électrique doit aussi se faire en fonction de votre budget.

Quand faut-il arroser ?

En été, la pelouse doit être arrosée tous les 5 ou 7 jours. Cela doit être fait de préférence dans les premières heures du matin. La température est moins élevée ce qui réduit l’évaporation d’eau. Pour éviter le gaspillage d’eau, mais aussi la prolifération de champignons et de maladies, n’arrosez la pelouse que lorsque c’est nécessaire. Pour s’assurer qu’il est temps d’arroser, vérifiez si le gazon est dans une teinte bleu gris, si les traces de pas sur le gazon s’impriment plus longtemps que d’ordinaire. Si c’est le cas, cela indique qu’il est temps d’arroser votre pelouse.

Si en été, il est évident pour tous que la pelouse a besoin d’eau, peu se rendent compte de l’importance de l’arrosage en hiver. Or, en hiver, la pelouse a aussi besoin d’être arrosée. Cela doit se faire tous les 10 ou 14 jours.

Comment bien arroser ?

Pour une pelouse de petite dimension, l’arrosage manuel fait l’affaire. Il vous suffit d’utiliser un tuyau d’arrosage équipé d’un pistolet à jet variable.

Pour une pelouse plus grande, vous pouvez opter pour un arroseur fontaine, oscillant, mobile ou rotatif. Si vous voulez éviter le gaspillage d’eau, monmagasingeneral.com conseille d’opter pour l’arrosage automatique.

Toujours dans l’idée d’économie d’eau et d’un arrosage bien maîtrisé, installer des sondes de pluie est recommandé. Ils permettent d’arrêter l’arrosage automatiquement dès la présence de pluie.
Pour trouver tout ce qu’il vous faut, vous pouvez acheter votre matériel sur Internet, dans un magasin comme monmagasingeneral.com. L’achat en ligne étant rapide, vous éviterez de perdre du temps et d’aller dans un magasin physique pour vous rendre compte après qu’il n’a pas ce que vous recherchez.